“Cette immoralité et manque d’éthique d’enseignants et responsables d’écoles font que ces derniers, abusant de leurs fonctions, aient des yeux sur des élèves (filles), comme proies faciles pour le harcèlement sexuel”, a-t-il déploré.
Selon Bento Bento, cette pratique au niveau de Luanda a atteint des niveaux alarmants, menaçant d’inverser la stabilité morale des institutions d’enseignement et conséquemment de la société.
Le gouverneur a fait cette annonce dans son discours aux responsables de la direction de Luanda de l’Éducation, des écoles étatiques et privées, des associations d’élèves, des enseignants et parents d’élèves, ainsi que des entités religieuses, lors de l’ouverture formelle de la présente année scolaire (...).